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Remix de l' echelle dont l' adresse n' était pas assez à notre gout...XD
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Groupe de rock psychédélique anglais fondé en 1964, Pink Floyd est composé de Syd Barrett (guitare), Richard Wright (arrangeur), Roger Waters (basse) et Nick Mason (batterie). Il est révélé par le single « See Emily play » puis par l’album The Piper at the Gates of Dawn. Cependant, dès 1968, victime de sa consommation abusive de LSD, Syd Barett flirte avec la dépression et la schizophrénie. Le groupe recrute alors David Gilmour (guitare) pour les épauler. Mais cela n’empêche pas le départ de Barett quelques mois plus tard.
Après la sortie du peu convaincant Final Cut, le groupe se sépare en 1984. Gilmour le reforme alors pour dix ans, sans que Waters ne soit de la partie. Durant cette période, deux albums seulement seront produits : A Momentary Lapse of Reason et The Division Bell.
Suite et fin de nos photos d' erlenmeyer en TP de Chimie, plus un supplément déco de la main de Mathieu
metal-in-action le 28-03-2009 à 23:07:48 # (site)
Cela dépend de ce que fais en tp mais nous on a un peu l' habitude avec nos 12 heures de tp par semaine ^^
Merci pour ton comm.
Bonne soirée
édité le 28-03-2009 à 23:08:41
angelraider le 08-03-2009 à 13:44:59 # (site)
Ns soii on en fé des TP,,Putiin Keske C chiien....
En 1994, Marilyn Manson n'est encore qu'un petit groupe Californien auquel le grand manitou Reznor a donné sa chance. Il y a bien eu quelques concerts, des démos à la qualité discutable sous le nom de Marilyn Manson & The Spooky Kids, mais rien de bien notable, surtout pour un type aussi ambitieux que Manson.
Ce premier album produit par Trent Reznor (qui joue aussi de la guitare sur Lunchbox) ne permet pas non plus au groupe de décoller, mais n'en recèle pas moins quelques qualités. La pochette tout d'abord est une entrée directe dans cette petite chronique de l'amérique moyenne vue par Manson. Des parents obèses qui fument, une boucle de ceinture portant l'inscription "personne n'a jamais violé un 38 mm", un enfant mort, victime semble-t-il de maltraitances, un autre, adolescent au regard maléfique, une vraie petite famille dégénérée qui nous regarde comme dans un poste de télévision.
Le groupe se présente déjà comme rejeton d'une amérique dévoyée et s'emploie à détourner ses symboles. Cela peut être (déjà) la littérature enfantine de Roald Dahl et en particulier Charlie et la Chocolaterie. Prelude est ainsi la reprise d'une des chansons des Hoompas Loompas, les sbires de Willy Wonka, tandis que le clip de Dope Hats est une mise en image du voyage des enfants sur la rivière en chocolat. Cela passe aussi par une référence à Charles Manson à travers le "I am the god of fuck" de Cake & Sodomy, qui pastiche les perversités des croyants, et l'emprunt à sa chanson Mechanical Man pour My Monkey. On note aussi que le titre Get Your Gunn fait référence au Dr Gunn assassiné par des militants anti-avortements. L'enfance est bien présente jusqu'à ce featuring du jeune Robert Pierce sur Lunchbox qui n'est autre que la petite valise en métal où les enfants mettaient leur déjeuner, interdite durant les 80's car elle leur servait aussi d'arme pour se frapper. Le petit jeu des références et des images à déjà commencé...
Alors bien sûr, où en est la musique dans tout ça? Et bien on a affaire à un rock metal légèrement teinté d'indus, plus abouti que sur les démos qui ont précédé, parfois redoutablement efficace comme sur les morceaux les plus connus Lunchbox, Cake & Sodomy, Dope Hat ou Get Your Gunn. C'est évidemment une atmosphère menaçante qui prédomine, les lyrics sont autant de coups de surin dans la peau de la tendre Amérique, mais on est encore loin du groupe vraiment dérangeant qui se profile. L'album n'en est pas moins plutôt prometteur tant l'identité du groupe est déjà latente, des titres comme Dogma en témoignent. Il est à noter qu'à l'époque c'est Daisy Berkowitz, rappelons le co-fondateur de Marilyn Manson & The Spooky Kids, qui compose le plus au sein du groupe, et auquel on doit la plupart des riffs bien emballés de cet album, comme celui de Misery Machine.
On a là un album pas désagréable avec quelques titres entrés depuis dans la petite histoire du groupe, mais qui manque encore de folie et d'ambition, comme si le ver demeurait dans la pomme. Plus pour longtemps...
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