We'll walk around
Pretending we're all grown up
Hey, rich girl!
Well, can you tell me why
You're so stuck up?
When you act like you're so down
Does paranoia come around
And seize your mind now
Roll your eyes!
There's investigation to be done
Like who's been wearing what with who
So what's been going on?
You got to know!
You got to know!
I'll tell you everything I know,
Any little thing I know. (x2)
You've got a lovely way with words,
Must be the way you see the world,
It's just the way you see the world
We'll walk around
Prentending we're all grown up
Hey, rich girl!
Well can you tell me why
You're so stuck up?
When you act like you're so down
Does paranoia come around ?
Now read your mind
And take your eyes
Investigation to be done
Like who's been wearing what with who
Hey, what's been going on around here,
Gotta tell me
You got to know!
I'd like to know!
I'll tell you everything I know,
Any little thing I know. (x2)
You've got a lovely way with words
Must be the way you see the world
It's just the way you see the world ?
Oh what a lovely way with words
Is that the way you see the world
It's just the way you see the world
I went down to your house last weekend
You said, "Come on man,
You don't have to point out everything that's bad.
So there's a broken mirror on my bed,
I'll clean it up, so what?
You don't have to be such an asshole all the time."
Oh, don't be like that
On se promènera
En prétendant qu'on a tous grandis
Hey, fille riche !
Bien, peux-tu me dire pourquoi
On est si coincés ?
Quand tu fais semblant d'être fatiguée
Es-tu touchée par la paranoïa
Qui a envahie ton esprit maintenant
Ouvre tes yeux !
Il faut faire une investigation
Comme qui fait quoi et avec qui
Alors que se passe t'il ?
Tu dois savoir !
Tu dois savoir !
Je te dirai tout ce que je sais,
La moindre petite chose que je sais. (x2)
Tu as une jolie façon de parler
C'est surement la façon dont tu vois le monde,
C'est juste ta façon de voir le monde
On se promènera
En prétendant qu'on a tous grandis
Hey, fille riche !
Bien, peux-tu me dire pourquoi
On est si coincés ?
Quand tu fais semblant d'être fatiguée
Es-tu touchée par la paranoïa ?
Alors lis ton esprit
Et sers-toi de tes yeux
Investigation à faire
Comme qui fait quoi et avec qui
Hey, qu'est ce qui se passe ici ?
Tu dois me dire
Tu dois savoir !
J'aimerais savoir !
Je te dirai tout ce que je sais,
La moindre petite chose que je sais. (x2)
Tu as une jolie façon de parler
C'est surement la façon dont tu vois le monde,
C'est juste ta façon de voir le monde
Oh quelle jolie façon de parler
Est-ce comme ça que tu vois le monde ?
C'est juste ta façon de voir le monde
Je suis revenu à la maison ce week-end
Tu as dit, "Allez mec,
Tu n'as pas à dire que tout est nul.
Alors il y a un miroir cassé sur mon lit,
Je nettoyerai, alors quoi ?
Tu n'as pas à être un trou du cul tout le temps. "
Oh, ne sois pas comme ça
N’essayez pas de cataloguer The Sunshine Underground ou de lui coller une étiquette car cette nouvelle sensation du Nord de l’Angleterre est tout simplement inclassable.
Des journalistes anglais ont tenté, l’an dernier, de trouver une explication à la popularité grandissante de ces quatre garçons sans résultat vraiment probant. On a évoqué le psychédélisme. Ce qui est totalement faux. On a parlé d’indie dance. Ce qui n’est qu’à moitié vrai. Et on a même tenté de les associer à la scène de Leeds. Ce qui est objectivement correct, mais ne nous apprend rien. Certes, ils partagent l’énergie et le sens de la débrouille de certains créateurs du West Yorkshire comme Whiskas de Forward Russia qui a organisé leurs premiers concerts mais comme le rappelle Stuart Jones (guitare) : « Ce qu’il y a de super chez les groupes de Leeds, c’est leur diversité. On ne peut pas parler d’une scène mais d’une région très créatrice. » Craig Wellington (chant-guitare) acquiesce : « The Sunshine Underground ne sonne pas comme Duels ou Pigeon Detective. Nous avons des influences tellement variées. Effectivement, nous avons un style, mais nous avons du mal à écrire deux chansons qui sonnent de la même façon. On ne se fixe aucune limite sans toutefois aller jusqu’au jazz-funk. »
Avec un nom emprunté au répertoire des Chemical Brothers, The Sunshine Underground ne pouvait que se définir comme « un groupe idéal pour faire la fiesta. » Sur RAISE THE ALARM, leur premier album conçu avec des producteurs comme Steve Dub (Death In Vegas) ou Segs (Madness), l’indie rock est catapulté au beau milieu de la piste de danse. Matthew Gwilt (batterie) et Daley Smith (basse) sont aux commandes de la rythmique, lorgnant vers le style funk des Happy Mondays pour concocter des bombes disco-punk du type de « Wake Up » et « Dead Scene ». Mais ne parlez pas de new rave à propos de The Sunshine Underground. Ils ont peut-être du Daft Punk dans les gènes mais ce sont des gamins qui ont grandi en se nourrissant de Blur et de Radiohead. Loin d’être de mièvres mélanges de punk, de new wave et de funk, les singles « Commercial Breakdown » et « I Ain’t Losing Any Sleep » jouent sans fard la carte d’un rock pur et dur. Avec l’intensité, la passion et les guitares vrombissantes de Muse, des Manic Street Preachers ou des Doves. Comme le souligne Craig : « Il est indispensable d’avoir des bonnes chansons. On ne peut pas se contenter de reproduire un rythme endiablé pendant des heures. Ça devient vite gonflant. »
Refrains entêtants, lignes de basse dantesques et rythmes répétitifs transforment les concerts de The Sunshine Underground en scènes de communion chaotique, plongeant les fans dans le délire le plus total. Si certains groupes ont des manifestes, The Sunshine Underground se préoccupe avant tout de faire grimper son public aux rideaux. Et ce de manière littérale : « J’ai une photo d’un spectateur au Nastyfest qui marchait sur le plafond » jure Craig. Plutôt que les shows classiques, ils affectionnent les concerts tardifs et impromptus dans les caves. « Tout le monde est le bienvenu à condition de s’impliquer à fond et de ressortir en nage. »
À la troisième écoute de RAISE THE ALARM, on perçoit une certaine rage au milieu de rythmes apparemment inoffensifs. Craig apprécie cette contradiction : « C’est drôle que des gens puissent chanter de manière insouciante des morceaux sombres et paranoïaques. » Il n’écrit pas de chanson d’amour, ni de morceau le concernant mais il est rarement à court d’inspiration. Il avoue : « Je m’énerve facilement lorsque je suis devant ma télé. Regarder les journaux télévisés est une source d’inspiration. » « Commercial Breakdown » se fout des lecteurs de Heat, l’équivalent anglais de Voici, « des gens déconnectés des choses essentielles qui vivent de ragots et de télé-réalité. » Sur « I Ain’t Losing Any Sleep », il est question de voyous aigris dans des villes minables et Craig s’attaque à un sujet qu’il maîtrise bien avec « Dead Scene », une satire de kids branchés et suffisants. Si The Sunshine Underground semble le groupe idéal pour accompagner une beuverie du samedi soir, il songe aussi intensément à ce qu’on peut ressentir le dimanche matin.
Six ans auparavant, Craig (un adolescent de Shrewsbury) et le reste du groupe (originaire de Telford) fréquentaient un collège du Shropshire. Un endroit sordide où ils avaient l’impression de devenir dingues et qu’ils ont fui pour partir plus au Nord quand Matt est entré à l’université. En peu de temps, The Sunshine Underground a acquis une telle réputation que certains voient déjà en eux les futurs sauveurs du rock indépendant anglais. Pas de quoi déconcerter des musiciens que le vedettariat n’intéresse pas et qui souhaitent avant tout avoir une relation du genre Stone Roses avec leurs fans. Craig : « Il s’agit vraiment d’entretenir un esprit fêtard en composant une musique qui nous plait pour un public qui est prêt à l’entendre. On se moque de savoir si on fera bientôt la Une du NME. » Il réfléchit puis poursuit : « Il ne s’agit pas d’être des stars mais juste d’envisager le rock comme un vrai job. On ne veut pas devenir riche, on veut juste éviter d’avoir à travailler chez McDo dans dix ans. Ce serait terrible. » Pas de soucis de ce côté là : The Sunshine Underground vient à peine de décoller.
Photo des bubulles dans un electrolyseur ...
Et voilà notre bichette nationale en train de peser ...
metalinaction le 19-01-2009 à 21:10:42 #
merci beaucoup bonne soirée à toi aussi
gros bisous
johnnydu51 le 14-01-2009 à 18:01:31 # (site)
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_______♥♥__Mon Petit tour du soir♥
______♥♥♥♥_Pour venir te souhaiter ♥
____♥♥♥♥♥__Une bonne soirée étoilée ♥
___♥♥♥♥♥______ ♥Une bonne et douce nuit
__♥♥♥♥♥♥_______Fais de doux rêves ♥
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_♥♥♥♥♥♥♥_________♥__Gros bisous
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__________♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥ ton ami bruno
Serj Tankian (né le 21 août 1967 à Beyrouth, Liban) est un musicien américano-néo-zélandais d'origine arménienne, surtout connu en tant que leader du groupe de nu metal et de metal alternatif System of a Down.
Tankian est membre du groupe System of a Down en tant que chanteur, claviériste occasionnel et guitariste secondaire (sur scène seulement). Il se sert aussi de samplers sur certaines chansons. Il est connu pour sa voix grave et posée pouvant cependant atteindre aisément les aigus. La voix de Serj Tankian est souvent en harmonie avec celle du guitariste Daron (Soldier Side,M. Jack), créant un duo vocal étonnant, Daron ayant une voix naturellement aiguë et claire. Serj Tankian passe également de l'humour (This Cocaine Makes Me Feel Like I'm On This Song) au discours politique (BYOB) selon les chansons. Il utilise souvent des effets sur scène : deux micros en même temps, vocoder lui donnant une voix aiguë...
Tankian dirige aussi divers artistes sous son label Serjical Strike, créé dans le but de favoriser le développement et l'épanouissement de la musique alternative. Sous cette étiquette il co-signe le projet Serart, avec Arto Tuncboyaciyan, en plus de produire (et chanter sur quelques chansons) l'album Enter the Chicken du guitariste Buckethead. Aussi poète à ses heures, Tankian signe Cool Gardens, un recueil de poésies publié par MTV Books.
Serj Tankian ne cache pas son engagement vis-à-vis des causes sociales, humanitaires et pacifiques. Son billet Understanding Oil[1], publié quelque temps après les attentats du 11 septembre 2001 sur le site officiel de System of a Down ne manquera pas d'attirer les foudres du public et d'être retiré par Sony, accusé de cautionner les attentats. À cela Tankian répondra en public notamment dans l'émission du controversé Howard Stern, d'ailleurs peu sympathique à sa cause.
Les thèmes politiques les plus utilisés dans les chansons de System of a Down sont la guerre et le génocide arménien pour lequel il s'engage d'ailleurs personnellement (il est l'instigateur d'une manifestation de plusieurs jours à Washington DC en avril 2005 demandant la reconnaissance du génocide par les États-Unis). Par ailleurs, alors qu'il vivait jusqu'alors à Los Angeles il a récemment décidé de s'installer en Nouvelle-Zélande jusqu'à la fin de la Guerre en Irak.
En parallèle, Tankian est associé à Tom Morello (Rage Against The Machine et Audioslave), avec lequel il a crée Axis of Justice, un projet visant à intéresser les jeunes aux causes proches de Tankian et Morello notamment via des concerts et des émissions de radio.
Tankian profite de la pause des membres de System of a Down pour se consacrer plus énergiquement à ses projets personnels, notamment son album solo, Elect the dead, sorti le 23 octobre 2007. Il prépare désormais un album à tendance plutôt jazz.
Il chante en duo Terminal Beauty avec Catherine Ringer sur le dernier album des Rita Mitsouko intitulé Variety.
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